Entre le début d’une toile et sa signature, puis son vernissage, coulent les mots en un amoncellement de carnets d’écolier que je regarde comme on regarde son empreinte carbone laissée en héritage à ses enfants spirituels. Mon devoir d’écolière est de les transformer en une matière nourricière et renouvelable.
Ne pas le faire serait oublier la claque que je reçus, le jour où je découvris Boris Vian. Enfin!, m’étais-je dit. Comme si j’avais reçu une goulée d’oxygène.
J’ai eu la même sensation, lorsque, découvrant les bord du Merrien dans la commune de Moëlan sur mer (29) pour la première fois, c’était avec ma chienne Yopie, de recevoir cette claque face à l’océan.
Je veux être libres ! Léo’S’Mer.
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